Heike en Français.
L'histoire par Bill, (traduit de l'Allemand).
Hélène écrit une lettre à sa petite amie, Sophie. Elle s'asseid au café et boit son café. Elle ecrit lentement et son café devient froid.
Elle se leve et elle va dans la rue.
Elle veut envoyer sa lettre. Dans la rue elle voit un bel homme. Il est grand et porte les vêtements noirs.
Hélène s'ârrete. Doucement, l'homme l'approche. Elle le voit clairement. Il a le visage blanc et les yeux rouges profonds.
—Bon soir ma belle fille, il lui dit.
—Bon soir monsieur.
Ses yeux trés rouges regardent profondement dans les siens.
—Viens avec moi, il dit.
—Je viendrai avec vous.
—Bien, suis moi.
—Je vous suivrai, dit Hélène. Ils vont lentement. Hélène suit l'homme comme dans un réve.
—Où allons-nous? demande Hélène.
—Nous allons chez moi.
—Et où habitez-vous, monsieur?
—Là voici.
Mais Hélène ne voit pas de maison, seulment la rue vide et des vieux bâtiments.
—Mais, monsieur, il n'ya pas de maison ici. Vous ne pouvez pas habiter ici.
—Si, mon enfant. Suis!
L'homme lui prend la main et ils vont sous une vieille porte dans la cimetière.
—Approche-toi, ma petite. J'ai grand soif.
Hélène ne veut pas, mais elle ne peut pas résister. L'homme la mord dans le cou et il boit tout son sang.
La nuit prochaine Hélène se reveille dans la fosse.
—J'ai soif, elle pense. Je dois boire le sang. Oh, là là! et puis je dois envoyer cette lettre.
L'histoire par Bill, (traduit de l'Allemand).
Hélène écrit une lettre à sa petite amie, Sophie. Elle s'asseid au café et boit son café. Elle ecrit lentement et son café devient froid.
Elle se leve et elle va dans la rue.
Elle veut envoyer sa lettre. Dans la rue elle voit un bel homme. Il est grand et porte les vêtements noirs.
Hélène s'ârrete. Doucement, l'homme l'approche. Elle le voit clairement. Il a le visage blanc et les yeux rouges profonds.
—Bon soir ma belle fille, il lui dit.
—Bon soir monsieur.
Ses yeux trés rouges regardent profondement dans les siens.
—Viens avec moi, il dit.
—Je viendrai avec vous.
—Bien, suis moi.
—Je vous suivrai, dit Hélène. Ils vont lentement. Hélène suit l'homme comme dans un réve.
—Où allons-nous? demande Hélène.
—Nous allons chez moi.
—Et où habitez-vous, monsieur?
—Là voici.
Mais Hélène ne voit pas de maison, seulment la rue vide et des vieux bâtiments.
—Mais, monsieur, il n'ya pas de maison ici. Vous ne pouvez pas habiter ici.
—Si, mon enfant. Suis!
L'homme lui prend la main et ils vont sous une vieille porte dans la cimetière.
—Approche-toi, ma petite. J'ai grand soif.
Hélène ne veut pas, mais elle ne peut pas résister. L'homme la mord dans le cou et il boit tout son sang.
La nuit prochaine Hélène se reveille dans la fosse.
—J'ai soif, elle pense. Je dois boire le sang. Oh, là là! et puis je dois envoyer cette lettre.